JOURNAL ÉVEILLEUR

Carnets d’humaine    

du nouveau monde   

J’ai commencé l’écriture de ces carnets fin 2019. C’est un journal éveilleur qui relate mes réflexions sur le monde que l’on vit, que l’on quitte et celui qui s’en vient, que l’on co-crée, en conscience et avec coeur.

carnet#1

Tu es mon autre

Je suis ton autre et tu es mon autre. On ne fait qu’un. C’est censé quand on y réfléchit. Avec le cœur surtout.

Le cœur, lui, ressent ce qui l’environne, ainsi que tout notre corps physique, nos pores, nos cellules. Tous enregistrent des informations en permanence. Mais est-ce que le cœur réfléchit ? Oui la lumière. 😉 OK mais pas que. Disons qu’il est comme un grand ordinateur central qui reçoit/traite toutes les données et ensuite les envoie au cerveau, aux muscles, etc. Oui, le cœur en premier.

Il existe un test scientifique qui m’a bluffée. On enregistre via des électrodes les réactions du cœur et du cerveau face à des images qui apparaissent aléatoirement sur un écran d’ordinateur. Animaux mignons ou effrayants, situations ou expressions du visage entraînent une réaction émotionnelle. On enregistre également les interactions entre cœur et cerveau. Et le résultat est incroyable : non seulement le cœur réagit en premier, mais c’est lui qui envoie des informations au cerveau ! Encore plus fort : le cœur réagit avant que l’image apparaisse sur l’écran. Dingue, non ?

Tu es mon autre et je suis ton autre. Je, toi, elle, eux, nous. Nous sommes tous connectés. Et l’invisible devient visible. La science le prouve de jour en jour : tout est énergie et tout interagit. Les textes sacrés, les mythologies, les savoirs anciens le racontent depuis fort longtemps. Nous sommes créateurs du monde, nous jouons à un jeu tous ensemble. Y’a des cowboys et des indiens, des princesses et des princes, des monstres, des magicien.ne.s, des pas sages et des passages. On joue sur les chemins que l’on emprunte, chacun le sien. Parfois on s’accompagne un instant, des années, une vie, plusieurs vies.

Tu es une partie de moi et je suis une partie de toi. Parfois, c’est compliqué à imaginer. Comment cet autre qui est si autre, si différent pourrait être une part de moi ? Souvent on refuse de le voir. On ne veut pas toujours voir notre propre reflet dans la glace non plus.

Tu es mon miroir, je suis ton miroir. Nous sommes une seule et même entité. Nous Humain.e.s connecté.e.s, nous qui sommes en interaction constante avec le monde et même des mondes, avec l’univers entier, soyons créateurs du Beau, du Bon et du juste. Pensons, incarnons, vibrons et manifestons l’amour, la paix et la joie. Peut-être pas main dans la main tout de suite, si c’est trop difficile encore avec certains autres si autres. Mais avec le cœur oui, tout notre cœur. Car y’a qu’ça d’vrai.

carnet#2

On est dans une nouvelle ère

Ce changement d’ère qui souffle un nouvel air, je le vois, je le sens, ça fait du bien. Tu trouves pas? Le monde change, les humains s’réveillent. On sort de la torpeur et malgré les souffrances, on avance, on avance. Cette époque est passionnante. Dépend de ce sur quoi on porte son attention, cependant.

J’ai arrêté de regarder le journal de 20H, ou même d’avoir une TV depuis belle lurette. Me parlez pas des chaînes d’info, complètement anxiogènes. Tu te souviens des repas de famille autour du journal télévisé ? Tu dois tout finir alors que des enfants meurent de faim ou que des familles sont bombardées devant tes yeux. Et je vous souhaite un bon appétit ! A moins d’être un sociopathe (j’en ai connu), on se fait du mal en regardant ça, non ?

Il existe un test scientifique qui m’a bluffée. On enregistre via des électrodes les réactions du cœur et du cerveau face à des images qui apparaissent aléatoirement sur un écran d’ordinateur. Animaux mignons ou effrayants, situations ou expressions du visage entraînent une réaction émotionnelle. On enregistre également les interactions entre cœur et cerveau. Et le résultat est incroyable : non seulement le cœur réagit en premier, mais c’est lui qui envoie des informations au cerveau ! Encore plus fort : le cœur réagit avant que l’image apparaisse sur l’écran. Dingue, non ?

Ère du verseau, cosmogonie-logie,
Mythes et mystères, dévoilés.
Savoirs anciens, retrouvés.
Masques tombants (doit-on encore voter?)
Egos tremblants (y’a qu’à bosser)
Sur soi, douceur de soie souhaitée.

Je dévore les connaissances des Anciens et m’abreuve des bonnes nouvelles du monde, tous les jours. J’apprends aussi sur la nature, les plantes. Les glaner sauvages, les faire pousser, les cuisiner, les conserver et utiliser leur médecine généreuse. Les sciences et les connaissances qui rendent visibles l’invisible, l’ouverture des consciences, les outils de libération de l’être… Passionnant ! Petite, je m’imaginais future archéologue, primatologue, sociologue ou faire des one woman show. 😉

L’humanité résonne.
La terre gronde.
Ses petits colibris
De voler
En conscience.

Sinon rien.

carnet#3

Ombres et lumières

L’ombre et la lumière ne font qu’un. L’ombre, c’est juste un manque ou une absence de lumière.

Mon activité de photographe m’a particulièrement amenée à constater clairement cette notion très spirituelle. Quand la lumière n’est pas là, un photographe doit trouver des ressources de lumières ambiantes ou de contrastes et faire des réglages sur son appareil, au risque d’avoir de la pixelisation ou du bruit, c’est-à-dire des zones obscures et mal définies. Trop de zones d’ombres créent de l’absence de clarté, de netteté, de qualité de détail, ce qu’on appelle le piqué (que j’adoooore). Pour faire entrer la lumière, on doit ouvrir le capteur qui mesure l’intensité de lumière et de couleurs qui créent l’image.

L’ombre cache la lumière. Comme la nuit succède au jour. C’est un petit jeu entre eux. Parfois c’est chacun son tour, parfois plus de l’un et moins de l’autre. Parfois, c’est entre chien et loup et c’est merveilleux. Comme nous, non ? On est comme la nuit et le jour, comme une planète, que dis-je un univers à nous tout seul. On peut capter et traiter des informations, des sensations de lumière ou d’ombre. Parfois ça fait du bruit (pour rien?), parfois ça pique, parfois ça éblouit, parfois ça éclaire. Quand le mental nous entraîne dans l’ombre, la peur se réveille. Quand le cœur libère la lumière, elle vient éclairer l’ombre. C’est comme un gros calin réconfortant. Nos ombres, c’est des manques d’amour à nous-m’aime.

Alors je vis et je choisis chaque jour d’amener la lumière sur l’ombre, de l’aimer et de m’aimer dans mon entièreté, chaque jour un peu plus et du mieux que je peux. Je ne désespère pas d’y arriver. Je trouve la force de me dépasser, la plupart du temps. J’accueille l’ombre chez moi. Je l’invite à me dire tout ce qu’elle peut. J’intègre, j’accepte, je mets de l’amour, je la remercie, je transmute, je lui dit au revoir. Je suis une alchimiste. Et toi aussi. On peut tous transformer le plomb en or, suffit de bien vouloir entrer dans son propre atelier de magie pour opérer. Dis aussi, on se hug la prochaine fois ? Paraît que ça aide la planète.

carnet#4

Lâche la prise

Laisser faire, s’abandonner, lâcher prise, être en état méditatif ou contemplatif, la vacuité, être Un avec l’univers… Bien compris le concept mais pas toujours facile à faire pour autant. Ben oui parce que ça marche pas à tous les coups. Dépend de l’environnement, des uns et des autres, de la situation, des énergies en interaction. Dépend de l’état émotionnel dans lequel on se trouve surtout. D’où on en est du travail sur soi et de son chemin d’éveil aussi.

C’est un cycle. Une période, un jour, une minute, une seconde ça va, puis « baboum » comme dirait fiston, d’un coup ça coince aux entournures, comme j’te dirais. Je progresse de jour en jour et des compréhensions se font, ça libère, puis ça roule, ça gaze, ça plane pour moi, zen atitude, me sens alignée. Pis y’a les moments de rechute, où je me débats un peu, beaucoup.

Quand on bute sur la recherche de solutions, on rumine, c’est la prise de tête et le corps qu’a bobo. On peut se dire : ok ça ne se passe pas comme je veux mais c’est juste une expérience, je peux en créer une autre maintenant, là, tout de suite. Je suis une joueuse et la vie en propose un choix d’expérience illimité. 

J’ai appris à voir le verre plein même dans les moments difficiles (pas juste à moitié car le vide est rempli d’informations). Me rappeler chaque fois que ce n’est qu’un moment à passer et qu’après la pluie vient le beau temps, ça soulage. C’est vrai, on l’oublie, quand on souffre trop. Les épreuves permettent d’emmagasiner une leçon, un flux d’info quantique, de digérer et libérer une émotion, un stress, une blessure. Un genre de gros fight avant un level up. Ça prend le temps qu’il faut. Et il faut un temps pour tout. Surtout pour s’aimer partout, tout le temps.

Généralement, j’appelle la joie à venir, je souris et mon énergie change instantanément. Et si je mets de la musique que j’aime à fond et que je me mets à danser, alors là, je suis de retour au paradis.

Lâche toi la grappe. Ça signifie de lâcher prise dans l’instant, de lâcher les tensions de ces émotions et de ces pensées qui nous figent dans la souffrance. Ça veut dire aussi d’accepter ce qui passe, de sortir de l’impasse, de cesser de refuser de vivre la situation telle qu’elle est et de lâcher cela. Ça implique la confiance et je dirai même la foi. C’est la volonté de décider de porter son attention sur ce que l’on souhaite plutôt que ce que l’on redoute. Sortir la tête de la prise, c’est décider de vivre autre chose dans l’instant, tout simplement.

carnet#5

La peur ou l’amour

On vit une drôle d’époque, c’est vrai. On peut évoquer à grands tremblements toutes les horreurs qui se passent actuellement dans le monde. Les plus cachées sont les plus terrifiantes. Bon. Est-ce que ça ne fait pas au moins 2000 ans que la terreur, la barbarie et la loi du talion règnent ? Tu vois bien que les masques tombent. La supercherie des gouvernements, des organisations mondiales, des grosses entreprises. On ne peut plus passer à côté. Dire qu’on ne savait pas. Ça, c’était avant. Fini les œillères, c’est l’heure de rêver, penser, créer le nouveau monde.

Fin d’une ère, début d’une autre, c’est maintenant que tout commence. Toujours ici et maintenant. Beaucoup de divulgations, d’informations à trier, à ressentir. Aller vers l’acceptation de la dualité pour plus d’équilibre et d’unité, intégrer le particulier et l’universel, « alchimiser » raison et intuition, se centrer dans le cœur et apporter sa pierre à l’édifice, voilà à quoi cette ère du verseau pousse chacun sur son chemin.

Il y a tant de belles choses qui se passent tous les jours, qui se créent sous nos yeux. Ces bonnes nouvelles du monde, tu sais ? La conscience qui s’éveille. C’est palpable, tu le sens ? Oui, tu le sais. Et toi aussi, tu changes, non ?

Je crois vraiment qu’on va vers de grands changements de l’humanité, pas seulement parce que c’est annoncé ici et là et que je suis d’un naturel optimiste. Bien sûr que j’ai envie d’y croire. Bien sûr, on va y arriver. Plus on est nombreux à le croire, plus ça arrivera. C’est comme ça que ça fonctionne.

On façonne le monde, on est tous responsables. De nos actions, de nos pensées. Nous vibrons. La PEUR OU L’AMOUR, c’est selon. Choisis ton camp, camarade. On est tous des jedis, des magiciens, apprentis ou maîtres selon les aspects de notre vie. On nourrit la peur ou l’amour tous les jours.

Abandonner progressivement la peur ? Aimer implique l’accueil de ce qui est, la confiance, la compassion, la paix et la joie. Le monde a besoin de cela : des gens qui s’aiment et qui sèment.

carnet#6

Nouveau souffle

Inspire
Un grand coup
La lumière, du beau, du bon, du juste
C’que tu veux du moment que
Ça fait du bien par où ça passe

Inspire.
Inspire toi.
Sois inspiré.
Sois inspirant.
Inspire le monde.
Sois le monde.

Sssoufffffle
Les Souffrantes blessures
Les Souffreux tourments
Les s’affreuses croyances
Les s’horribles saboteurs
Les sales blablas

Souffle
Souffle à la terre, au ciel, à qui veut l’entendre
Tes plus secrets désirs
Tes rêves les plus fous
Envoie à qui veut l’entendre
L’énergie de qui tu es
Ici et maintenant

Souffle à l’invisible
Que tu es qui
Tu es
Ici et maintenant

*

Et l’invisible de répondre : Tu as été entendu.e.
Une surprise t’attend ici bas.

carnet#7

Lettre à mon enfant

Mon enfant,

Tu es la plus belle création que ce monde ait connu. Tu es unique et merveilleux, accueilli avec amour sur cette terre et aimé dans toutes les dimensions.

Tu es un univers chargé de promesses, une personnalité à part entière, un condensé d’amour et de magie. Tu peux faire tout ce que tu veux. Des grandes choses et plein de petites. Pépites. Il suffit de t’aimer et d’y croire.

Ouvre grand tes mirettes, abreuve toi de beauté, sens, savoure les plaisirs de la vie, sans t’éloigner de toi. Vois grand.

Nourris toi de rires, de chants et de danse. Émerveille toi de tout et de rien. Vibre. Garde l’esprit et le cœur ouverts.

Va vers là où tu te sens appelé, tant pis si c’est difficile, si c’est changeant, si ça t’effraie. N’aie pas peur d’avancer car le mouvement c’est la vie même.

Chante ta mélodie. Livre ton message. Joue ton rôle, le monde a besoin de toi. La vie est comme un grand terrain de jeu. Sois joueur.

Sois libre d’être qui tu es. Connais toi toi-même et fais fructifier tes talents. Travaille à t’aimer du mieux que tu peux, ainsi que tout ce qui est, tous les jours un peu plus.

Sois toi avec toutes tes bizarreries, tes passions, tes manies, pourvu que ça t’élève. Exprime ta nature profonde, ton enthousiasme.

Fais des choix et assume les. Respecte tes envies et tes idées inspirées. Sois à l’écoute des autres mais respecte toi et écoute toi avant tout. Ne laisse personne te maltraiter, pas même toi.

Écoute ton instinct et ton cœur. Lis les messages de ton corps et de ton âme. Sois ton propre guide et appelle à l’aide si besoin. Repère les dissonances et joue seulement ce qui sonne juste en toi.

Écoute ta joie. Danse la. Laisse la te guider vers là où tu dois être. Être juste toi.

Décide simplement d’être heureux et c’est la vie qui te sourit. Offre toi une vie passionnante, tu le mérites.

Je t’aime de tout mon cœur, toute mon âme et je te remercie de tes enseignements.

Sache que je fais du mieux que je peux pour t’aimer et t’accompagner.

Belle vie à toi mon enfant. Profite de chaque instant.

Maman

carnet#8

Le plus grand pas est le premier à poser

Les crises sont la promesse de jours meilleurs… qu’avant la crise ! C’est le level up à passer pour réaligner sa vie à la justesse des valeurs et de la saveur que l’on souhaite.

Ma chérie, apprends à t’écouter d’abord. Débranche la tête, ça fait un ramdam là-dedans, on en a pas tant besoin. Et regarde la situation comme si tu étais spectateur. Si cela arrivait à un.e ami.e, que lui dirais-tu ? Pourquoi tu ne pourrais faire la même chose pour toi-même ? T’envelopper dans une couverture d’amour, justement parce que tu en as besoin et que tu sais que toutes les ressources sont en toi. Et sinon ne reste pas avec ce trop plein et demande de l’aide pour bouger de là où tu es, c’est déjà un pas vers soi.

Le plus grand pas, c’est le premier. Et même s’il t’emmène dans une direction que tu n’avais pas envisagé, il a enclenché le mouvement et le mouvement c’est la vie-même. C’est pour ça que tu souffres, la vie te rappelle que tu n’es pas fait pour stagner mais pour être dans le flot, dans ton flow. Quelle musique intérieure vas-tu jouer? Du blues, vraiment ?

Qu’est-ce que tu veux vraiment ? Que dis ton corps ? Qu’il est fatigué de tout porter ? C’est lourd les peurs et les émotions. Dépose. Terre mère accueille et transforme, no soucy. Va hurler comme une louve au fond des bois, émerveille toi de la lumière traversant les branches des arbres, écoute le bruit de tes pas dans les feuilles. Et pleure, pleure, tout ce que tu peux. Accueille cette émotion, dis lui « OK tu es là, tapie, au fond de moi, que veux-tu me dire ? Exprime toi à fond, vas-y ». C’est là que la transformation s’opère. Quand on lâche, dépose, abandonne les armes.

Et si ce n’est pas le cas c’est qu’on résiste au changement. Donc c’est la stagnation de la souffrance. On l’alimente par des pensées moribondes, des scénarios catastrophes, des émotions empoisonnées. On a la tête dedans et parfois tout le corps embourbé par cette profonde tristesse, cette colère grandissante au fond de nous. En fait généralement la peur du changement. Qu’est-ce qui se passera si…?

Les émotions sont faites pour être vécues dans tout le corps puis évacuées, transmutées. Comme un jeune enfant qui se roule dans tous les sens en hurlant et pleurant à la fois. Il évacue une bonne fois pour toutes. On ne devrait jamais dire à qui que ce soit de retenir ses émotions, de les garder en soi. Tout le contraire de ce qu’on nous apprend. C’est pour ça qu’il est important de se (re)connaître et de sentir les choses, être à l’écoute de soi et savoir accueillir et transmuter nos émotions. On peut décider à chaque seconde de changer d’état émotionnel. Dessine un sourire sur tes lèvres, prends de la hauteur, danse, chante, observe. Tu vois bien que tu es un alchimiste qui peut modifier les énergies.

Les crises c’est des périodes salutaires de transformation. Comme une chenille qui se transforme en papillon, coincée dans son cocon. Se demande t-elle si c’est dur, si elle souffre ou accepte t-elle simplement cette étape comme nécessaire avant l’envol vers sa nouvelle vie ? Le cocon, la zone de confort (en vrai la zone de déconfort, puisqu’il s’agit d’un confort d’adaptation), c’est la même chose et ça ne peut pas durer toute une vie.

C’est comme un rappel que tu ne t’écoutes pas assez et qu’il ne tient qu’à toi d’aller vers là où tu te sens appelé.e, même si le chemin te paraît dur et sinueux et que tu ne sais ce que tu vas trouver sur ta route. La confiance que tout arrive pour le mieux sera ton guide. Demande lui de t’accompagner. Tu sais par contre ce qu’il y a si tu restes où tu es.
Alors, tu t’accomodes de cette situation ou tu pars à l’aventure de toi-même ?

carnet#9

TO DO LIST

– M’aimer chaque jour davantage.
– M’ancrer tous les jours.
– Créer le plus souvent possible.
– Prendre soin de mon corps et bouger.
– Passer plus de temps dans la nature.
– Passer du temps de qualité régulièrement avec les gens que j’aime.
– Chouchouter ma famille.
– Vider ma maison, être plus minimaliste et faire de la place.
– Être organisée et régulière dans mon travail.
– Apprendre encore et toujours.
– Innover et me surprendre dans mes projets.
– M’exposer, me livrer, lâcher prise.
– Danser, chanter et rire.
– Rencontrer des personnes intéressantes et créer des nouveaux liens.
– Oser être, oser vivre, oser incarner, oser dire, oser montrer, oser éveiller, oser séduire, oser apprendre, oser recevoir, oser donner.
– S’autoriser la bonheur, la beauté, la clarté.
– Améliorer mon intérieur et mon extérieur : mon corps, ma tête, ma maison et mes corps subtils.
– Libérer mes peurs, mes émotions, mes mémoires karmiques et transgénérationnelles.
– M’honorer et honorer la vie.

Voilà donc ce que j’ai écrit au moment de rédiger une todo-list « classique ».
Je me suis dit que c’était LA vraie liste des choses à faire et j’ai eu envie de te la partager.

Qu’en dis-tu ? Si tu devais faire la tienne, qu’est-ce que tu ajouterais, changerais ?
Merci de me suivre et de me lire. Je t’embrasse.
Ensemble on fait un monde meilleur.

carnet#10

L’art de la procrastination

La procrastination (du latin pro « en avant » et crastinus « du lendemain ») est une tendance à remettre systématiquement au lendemain des actions (qu’elles soient limitées à un domaine précis de la vie quotidienne ou non). Le « retardataire chronique », appelé procrastinateur, n’arrive pas à se « mettre au travail », surtout lorsque cela ne lui procure pas de satisfaction immédiate. [Merci Wikipédia].

Je suis passé maître procrastinateur il y a fort longtemps. A en juger par le temps passé entre mon dernier post et celui-ci, on peut déceler ma propension à la procrastinAction. Rendre en retard un travail à l’école (le faire après avoir demandé un délai, donc après le temps imparti), faire tout à la dernière minute, parfois bâcler les choses, glander sur le net, sur un jeu, devant des vidéos, faire tout et n’importe quoi sauf la tâche attendue, voilà en quoi consiste cet art très prisé par de nombreuses personnes. Toi qui lit ce texte, je sais que tu te sens concerné (ou alors tu es un héros/héroïne des temps modernes).
Il y a toujours mieux à faire que certaines tâches jugées pénibles, inintéressantes ou angoissantes. Le problème évidemment, c’est que plus on attend, plus cela devient pénible et stressant. La bonne nouvelle, c’est que l’on découvre en procrastinant certaines choses sur soi-même ou le monde (je ne parle pas de cette vidéo d’animal mignon ou ce clip matés en boucle, quoique).

Je ne sais pas pour vous mais parfois c’est tellement difficile de se motiver ou garder sa motivation. Je crois qu’il faut surtout garder le focus sur ce que l’on veut, visualiser, rêver ce que l’on souhaite vraiment, ce que notre âme veut surtout. Généralement qu’on exprime nos talents dans le monde et qu’on serve le collectif en étant nous-mêmes, heureux et libres. Tout un programme ! Mais loin d’être impossible. En fait rien n’est impossible si on y croit vraiment.
Le manque de volonté ou d’intérêt peut tuer dans l’oeuf n’importe quel élan ou décision prise avec soi-même de faire toujours plus et mieux. Cette année, comme les précédentes, je ne ferais pas une liste de bonnes résolutions mais je vais plutôt écrire ce que j’aimerais voir se manifester, comme si c’était déjà là.

Aujourd’hui on est poussé vers une voie d’éveil, soit par la connaissance soit par la souffrance, souvent un peu les deux. Visualiser, incarner, manifester le nouveau monde, maintenant !
Je l’oublie souvent en ce moment, la période étant plus à l’introspection qu’à l’action. Promis l’année prochaine, je m’y mets. Sûrement. Evidemment. Pleinement. Bon, c’est pas tout ça mais j’ai pris du retard, j’ai des vidéos à regarder sur youtube. Je vous embrasse.

PS : Ouf, j’ai enfin réussi à écrire ce post. Les petites victoires du quotidien vaincront la procrastination. Suis fière. #je me félicite

carnet#14

Co-créer un monde nouveau

Et si nous nous étions incarné.e dans cette période particulière pour changer le monde?

Vivrait-on la fin d’un cycle et le début d’un autre ? Certains parlent du passage de l’ère des poissons à celui du verseau, d’une transmutation vers un âge d’or, un passage vers un nouveau monde. D’autres parlent de l’apocalypse, c’est-à-dire d’un temps de révélations et de chute de sociétés et de systèmes déséquilibrés afin de reconstruire.  Il est dit dans les textes anciens et sacrés que la terre traverse des cycles cosmqiues de 26000 ans et il est annoncé une élévation vibratoire de la terre, un changement de paradigme car la planète elle-même aurait une conscience. Avec ce changement vibratoire semble aller une augmentation des consciences individuelles et collectives,  un éveil ou réveil grandissant. Et si nous nous étions incarné dans cette période particulière pour cela : changer le monde? S’il ne tenait qu’à nous de prendre notre place, d’incarner une nouvelle humanité, de se positionner pour un monde meilleur dans ce temps de transition si duel?

Notre monde intérieur comme le monde extérieur se construit à partir de nos pensées et de nos croyances.

Aujourd’hui la science comme la spiritualité démontrent que nous créons notre réalité, que nous créons la matière à partir de nos pensées, de nos croyances, de nos émotions, de nos vibrations. Selon que l’on soit dans la paix, la colère, la joie, la confiance ou la tristesse, nous vibrons la peur ou l’amour. Si tout est énergie et interconnecté, si tout est information vibratoire (« le verbe est créateur ») alors nous sommes responsables de nos actions et de nos pensées. Elles peuvent impacter notre être, notre environnement, la planète, l’univers entier.
Agir pour le changement qui s’opère est non seulement une nécessité, pour sortir de la peur et de la matrice dans laquelle nous pouvons être enfermé.e.s mais surtout une mission que nous sommes venu.e.s incarner. Tout est cycle et recommencement. La terre accouche d’elle-même, une nouvelle humanité est en train de naître. On peut en tout cas le croire et l’espérer et participer à cela en émettant du respect pour la vie et de l’amour, à commencer par soi-même. Alors dire que la révolution est intérieure prend tout son sens.

Vers une nouvelle conscience

Ce nouveau paradigme implique de nouvelles visions de la vie, à commencer par revoir notre copie à propos de l’illusion de la séparation. Nous ne sommes pas séparés, nous sommes reliés de manière invisible. C’est ce qu’on nomme l’intrication quantique. C’est l’idée que tout est énergie, qu’il n’y a pas de vide, que tout est interconnecté. Nous sommes des êtres électromagnétiques capables de pouvoirs attribués aux superhéros et pourtant, nous sommes tous capables de façonner notre réalité par nos pensées, nous faisons tous du magnétisme sans le savoir et nous sommes tous télépathes. On pense à quelqu’un et cette personne nous appelle, et cela arrive de plus en plus fréquemment? Nous sommes reliés, nous faisons de la télépathie!
Dans ce monde en création, l’amour est le maître mot, ainsi que la bienveillance, le concept d’abondance, la gratitude, le pardon, l’acceptation et la confiance.
Nous devenons responsables à 100% de ce que nous pensons et faisons, de ce que nous vivons, responsables aussi de notre liberté, nous devenons des êtres souverains. Certes, cela demande de tout réapprendre ou plutôt désapprendre. Devenir un être libre et souverain signifie de laisser derrière soi toutes les croyances sur la façon dont la société s’est construite, sur le travail, la famille, le couple, la parentalité, etc. C’est remettre tout à niveau et faire en sorte que des concepts tels que liberté, égalité (ou équité) et solidarité ne sonnent pas comme un joli slogan et de vains mots mais comme une réalité. Dans cette ère de transition, il ne tient qu’à nous d’incarner un.e nouvel.le humain.e, de réapprendre à s’aimer et à semer les graines de la nouvelle terre.

ÊTRE HEUREUX EST NOTRE PRINCIPALE MISSION

Si nous sommes responsables de ce que nous nourrissons en nous-même, si cela impacte notre environnement et l’univers entier, alors notre mission première est d’être heureux/se. Cela passe par une guérison du passé et une confiance en l’avenir, mais avant tout de savoir vivre pleinement l’instant présent. Et puis sinterroger sur l’essentiel : Que voulons-nous pour le monde, pour nous-même? Qu’est-ce qui nous met en joie, nous émerveille, nous fait monter en vibration, en énergie? Là devrait être la première question à poser dès l’enfance pour guider nos chemins, sachant que tout vibre, tout est mouvement et qu’il y a toujours moyen de changer ou d’emprunter plusieurs voies. Nous avons tous des talents, des dons, des facultés qui peuvent profiter à tous. Il est peut-être temps de les faire éclore ou fructifier, d’inspirer et d’incarner le changement que l’on veut voir dans le monde. C’est maintenant que tout commence : inspirons le monde, soyons le changement.

 

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